domingo, 1 de fevereiro de 2009

Arrivée du Président de la République à Addis abeba pour prendre part au sommet de l’union africaine


Addis Abeba,Le Président de la République, Mohamed Abdeklaziz, est arrivé, ce samedi à Addis abeba pour prendre part aux travaux du XIIème sommet ordinaire des Chefs d’Etats et des Gouvernements de l’Union africaine (UA) qui se tiendra dans la capitale éthiopienne du 1er au 3 février.

Le Chef de l’Etat a été accueilli à la passerelle de son avion, a l’aéroport de Addis Abeba, par le ministre éthiopien de la culture, actuel commissaire de l’UA aux affaires économiques, ainsi que plusieurs hautes personnalités politiques éthiopiennes et africaines.

M. Abdeaziz et la délégation qui l’accompagne devaient écouter l’hymne national africain avant de passer en revue une unité de l’armée éthiopienne venue lui rendre les honneurs.

Le Président de la République est accompagné d’une délégation comprenant, le MAE, Mohamed Salem Ould Salek, du ministre délégué chargé de l’Union africiane, Mohamed Yeslem Beissat, des Conseillers à la Présidence de la République, Bachir Sghayer et Abdati Breika, l’ambassadeur sahraoui auprès de l’UA, Breika Lehbib, du premier secrétaire à l’ambassade, Habbaaa et du conseiller juridique de l’ambassade, Salama Khalil.


L’Union africaine (UA) a formulé, vendredi au cours de la session du Conseil exécutif de l’Union à Addis-Abeba (Ethiopie) son souhait de voir les négociations engagées entre le Maroc et le Front Polisario reprendre "immédiatement", après avoir constaté qu’"aucun progrès" n’a été enregistré dans la résolution de ce conflit.

Dans le rapport établi par le président de la Commission de l’UA,
M. Jean Ping, soumis à l’adoption du Conseil exécutif et à la conférence des chefs d’Etat et de Gouvernement dans la capitale éthiopienne, il est mentionné que "l’UA souhaite ardemment que les négociations entre les deux parties puissent reprendre immédiatement", considérant que durant les six derniers mois, "aucun progrès n’a été enregistré dans la résolution du conflit du Sahara occidental", rappelle-t-on.

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