segunda-feira, 13 de abril de 2009

Le pésident du Parlement de Gipuzkoa dénonce le ''mur de la honte'' au Sahara occidental


San Sebastian (Pays basques), Le président du Parlement de la région de Guipúzcoa, Rafaela Romero, a dénoncé et rejeté l’implantation de mines et d'engins explosifs dans le "Mur de la Honte", qui divise le Sahara occidental et son peuple depuis des décennies, a rapporté l’agence espagnole, Europa Press.

L'explosion d'une mine anti personnelle a engendré l'amputation de la jambe droite d’un jeune participant sahraoui à la deuxième édition de la colonne de 1.000, au coté d’un grand nombre d'Européens, réclamant le démantèlement de ce mur, qualifié de "crime contre l’humanité".

Le président du Parlement de Guipúzcoa, Rafaela Romero, a exprimé la solidarité de son institution avec la juste cause du peuple sahraoui, selon un communiqué cité par la même source.

" À ce jour, des centaines de victimes de ce mur de chaque côté. Des centaines de civils sahraouis ont été tués en tentant de traverser ce mur vers les camps de réfugiés", a-t-il déploré.

"Chaque distance de ce mur est un véritable barrage contre l’avènement de la paix et l'avenir" de ce territoire, a-t-il dit, exigeant de la communauté internationale de "ne pas rester indifférent e à cette horreur et à intervenir d'urgence, pour la solution du conflit du Sahara ".

Il a enfin appelé là exiger du Maroc le respect et la protection des droits de l’homme au Sahara Occidental.

Le mur de la honte marocain est le plus long du monde," s’étend sur une longueur de plus de 2.500 kilomètres réparti en six portions, contrôlé par 160.000 soldats, 250 batteries d'artillerie, 20.000 km de fil de fer barbelé et des milliers de mines antipersonnel ", a-t-il rappelé.

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