terça-feira, 14 de abril de 2009

THE RIGHT TO SELF-DETERMINATION AND THE QUESTION OF THE WESTERN SAHARA



The Volkenrechtskring, the Amsterdam Student Association of International Law,

cordially invites you to our next event:


THE RIGHT TO SELF-DETERMINATION AND THE QUESTION OF THE WESTERN SAHARA

Monday, 20 April 2009, 19h00 - 22h00, Room D109 Oudemanhuispoort

The former Deputy Chairman of the UN Peacekeeping Mission for Western Sahara, Frank Ruddy, depicts the issue of the Western Sahara as “Morocco’s brazen land grab of Western Sahara, a land grab that stole from the people of Western Sahara any say in their own future”. The Moroccan government on the other hand, says that Western Sahara is an integral part of the Kingdom of Morocco. This discrepancy is exemplary for the gap that exists between international law and thepresent situation in the Western Sahara. It is this gap that will be at the focal point of a debate on the 20th of April 2009, organized by the Amsterdam Student Association of International Law.

Speakers

Prof. Christine Chinkin, professor of International Law at the renowned London School of Economics and Political Science (LSE).
Prof. Abdelhamid El Houali, professor of Law at the University of Casablanca.
Dr. Pedro Pinto Leite, secretary of the International Platform of Jurists for East Timor (IPJET)

Moderator

Dr. Catherine Brollmann, associate professor of international law at the University of Amsterdam

Location

Room D109, Oudemanhuispoort
Oudemanhuispoort 4-6
1012 CN Amsterdam

Be sure not to miss it! The event is free of charge. Please forward this message and the attached press release to whomever may be interested.

For more information about our activities, please consult our website www.jur.uva.nl/volkenrechtskring

.
For questions or remarks please do not respond to this message but mail us at
vrkring-fdr@uva.nl.

Le ministre délégué du MAE pour l’Amérique latine effectue une visite officielle au Mexique


Mexico, Le ministre délégué auprès du MAE chargé de l’Amérique latine, El Haj Ahmed Barikalla se trouve en visite officielle au Mexique, afin d’informer les autorités mexicaines des derniers développements de la question du Sahara Occidental, a indique une source de l’ambassade de la RASD au Mexique.

Le ministre sahraoui s'est entretenu avec le vice ministre des affaires étrangères du Mexique, Juan Manuel Gomez Robledo, ainsi que le vice président du Sénat,Yeidckol Polevnsky, dont leur pays assume la présidence actuelle du Conseil de sécurité.

Au cours de cet entretien, le diplomate sahraoui, a expliqué la vision de son pays vis-à-vis du processus de paix au Sahara occidental, à la suite de la nomination de l'envoyé personnel des Nations Unies, Christopher Ross, et sa récente tournée dans la région.

Il a également présenté des informations détaillées sur la situation des droits humains dans les territoires occupés sahraouis, et a exprimé la préoccupation de la RASD face à cette "catastrophe humanitaire qui se déroule dans un silence de l a communauté internationale".

Le Premier ministre condamne les crimes du Maroc contre le peuple sahraoui


Ecole 27 février (camps de réfugiés), Le Premier ministre, Abdelkader Taleb Oumar a condamné samedi, les crimes perpétrés par le Maroc contre le peuple sahraoui, au cours de la clôture de la manifestation internationale pour le démantèlement du mur de la honte marocain.

"Vous avez vu de vos propres yeux, les dangers du mur de la honte, érigé par l’armée marocaine au Sahara Occidental et comment les mines implantées autour de ce mur peuvent facilement perdre la vie des êtres humains", a précisé M. Abdelkader dans son allocution devant les participants à cette manifestation.

"La République sahraouie et le Front Polisario s’engagent à user les méthodes pacifiques pour recouvrer l'indépendance du Sahara Occidental, mais comme vous pouvez le voir, nous sommes sous une pression énorme, en particulier de la jeunesse, qui nous demande de faire un pas décisif pour un retour à la guerre.", a-t-il ajouté.

Le premier ministre a estimé que "cet incident tragique qui a amputé le pied droit d’un jeune sahraoui et blessé un autre, amènera l'ONU à modifier son approche du conflit du Sahara Occidental".

"Le peuple sahraoui s’est toujours exprimé en faveur d’une solution pacifique, mais si le Maroc continue à tourner le dos à nos efforts pacifiques, nous serons obligés de nous défendre par tous les moyens légitimes, y compris la reprise des armes", a-t-il martelé.

M. Abdelkader a enfin remercié les délégations venues d’Europe, d’Amérique latine et d’Afrique pour prendre part à la manifestation internationale des femmes, réclamant le démantèlement du mur de la honte marocain et exprimer leur solidarité avec le peuple sahraoui.

L’Autriche s’exprime pour un règlement juste au conflit du Sahara occidental


Vienne (Autriche), Des responsables au ministère autrichien des affaires étrangères, ont réaffirmé que "leur pays ne ménagera aucun effort en vue d'un règlement juste du conflit au Sahara occidental", à l’issue d'une réunion de travail avec le membre du Secrétariat national du Front Polisario, coordonnateur avec la MINURSO, Mhamed Khaddad, au siège du MAE à Vienne.

Les responsables, dont le Directeur général des organisations internationales, responsable de la gestion de projets humanitaires, le chargé des relations économiques et de la coopération auprès du MAE, ont exprimé leur désir "de trouver une solution juste et durable à la question du Sahara Occidental, conformément aux résolutions de l'ONU et du Conseil de sécurité".

Les entretiens ont eu trait sur le prochain débat du Conseil de sécurité concernant les derniers développements de la question du Sahara et l'aide humanitaire destinés aux de réfugiés sahraouis.

Le diplomate sahraoui a salué la position de l’Autriche dans la défense de la légitimité internationale et le droit des peuples à l'autodétermination, soulignant que "sa présence (l’Autriche) en tant que membre non permanent du Conseil de sécurité, contribuera au respect des droits de l'homme dans les territoires sahraouis sous occupation du Maroc et l'avènement d'une paix juste à ce long conflit".

Il a enfin rappelé que le peuple du Sahara occidental a souffert de l'occupation pendant des décennies, afin de lui permettre de décider démocratiquement de son destin, regrettant que "le Maroc, qui tente vainement d'imposer son fait accompli, risque d’engendrer une situation d’instabilité dans la région".

Le président de la République appelle le SG de l’ONU à démolir le mur de la honte marocain au Sahara Occidental


Bir Lehlou (territoires libérés), Le président de la République, Mohamed Abdelaziz a demandé dimanche, dans une lettre adressée au SG de l’ONU, Ban Ki-Moon d’"user de son influence pour obtenir la démolition du mur de la honte marocain qui divise le Sahara Occidental depuis des décennies.

"Nous vous demandons instamment d’user de votre influence pour obtenir sa démolition; une démolition qui est, désormais, une mesure urgente susceptible de contribuer à créer, à la veille de leurs pourparlers prochains, des conditions de confiance réciproques entre les deux parties prenantes au conflit, le Royaume du Maroc et le Front Polisario", a écrit le président de la République dans unelettre à M. Ban Ki-Moon, secrétaire général de l'ONU.

Voici le texte intégral de la lettre:


"" Bir Lahlou, le 12 avril 2009
M. Ban Ki-Moon
Secrétaire Général des Nations Unies.

M. le Secrétaire Général,

Comme vous le savez, le Royaume du Maroc a procédé, à la fin des années quatre vingt, à la construction d’un vaste mur de défense, truffés de fils de barbelés et d’une variété de mines, y compris les mines anti-personnelles dont l’usage est prohibé par la communauté internationale.

Ce mur, long de milliers de kilomètres et qui divise le Sahara occidental et son peuple en deux parties isolées l’une par rapport à l’autre, a été érigé dans la criminelle intention de conférer à l’occupation illégale de notre pays par le Royaume du Maroc un caractère irréversible, et partant, d’enlever aux milliers des familles sahraouies, chassées de leurs foyers et forcées à l’exil hors de leur pays, l’espoir de retrouver un jour, dans la paix et la liberté, les leurs après des décennies de séparation.

Vivement préoccupée par les graves et lourdes conséquences de l’existence de ce mur de la honte pour le peuple sahraoui, sa dignité et l’intégrité de son pays, de nombreuses organisations humanitaires et de droits de l’homme, et des personnalités politiques représentant différents pays, ont décide d’organiser, en collaboration avec des secteurs de la société civile sahraouie, une grande manifestation pacifique devant la portion du même mur dans la région de Mahbes.

Les participants ont pu dénoncer les violations des droits de l’homme perpètres par les forces d’occupation marocaines au Sahara Occidental, demander a la communauté internationale de tout faire pour démolir le mur, et hâter l’organisation du referendum d’autodétermination, tant espéré et régulièrement reporté, devant permettre au peuple sahraoui de disposer de son avenir.

Malheureusement, cette manifestation que les organisateurs ont voulu pacifique et pacifiste, a donné lieu à quelques regrettables incidents dus à l’existence dissimulée de nombreux champs de mines implantés par les autorités coloniales marocaines autour et à proximité du mur. Entrés, sans s’en rendre compte dans un de ces champs de la mort, plusieurs manifestants ont été gravement blessés par l’explosion et les éclats d’une mine.

M. le Secrétaire Général,
Pour provoquer le maximum de pertes humaines et causer le plus de dégâts possibles parmi la population civile sahraouie qui vit dans les environs immédiats du mur, les autorités marocaines ont refusé catégoriquement, jusqu’ici, et ce, malgré les appels répétés des organisations humanitaires et de droits de l’homme, de bien délimiter, de manière visible, les champs de mines qu’elles ne cessent de multiplier autour du mur de la honte.

Un mur qui, faut-il y insister, répond, par ailleurs, a toutes les caractéristiques qui font qu’il ne peut qu’être considéré comme un crime caractérisé contre l’humanité.

Eu égard aux multiples dangers que représente ce mur de la honte, qui est après tout, un intolérable défi pour une communauté internationale qui a toujours estimé que le Sahara Occidental est un territoire à décoloniser, nous vous demandons instamment d’user de votre influence pour obtenir sa démolition; une démolition qui est, désormais, une mesure urgente susceptible de contribuer à créer, a la veille de leurs pourparlers prochains, des conditions de confiance réciproques entre les deux parties prenantes au conflit, le Royaume du Maroc et le Front Polisario.

Je vous prie de croire, M. le Secrétaire Général, en l’expression de ma très haute et profonde considération.


Mohamed Abdelaziz
Secrétaire Général du Front Polisario
Président de la République Arabe Sahraouie Démocratique".